Courcouronnes 2015: Massacre au Fort de Vass

Michel 91 a écrit:Bravo Olive!!
j'ai peint 15 Francais réguliers, je crois que j'avais pas peint depuis mai ou juin

de quelle année?
oups, je =>

2015 of course...annus horribilis

Sombres nouvelles de la frontière: en cet automne 1755, une grande et sanglante bataille vient d'avoir lieu au Fort de Vass, à quelques lieux de Shawville.
1200 points de chaque côté.
Mais avant d'examiner son déroulement, un bref voyage dans le temps, une vingtaine d'années en arrière.

Le comte Amaury-Joseph de Landalle, son épouse Marie et leurs trois filles, Rose, Coralie et Alix traversent l'atlantique, en direction de leur nouvelle plantation aux Antilles. Le comte a un jeune frère, novice aux Antilles, dans une mission catholique, qui lui parle de la misère qui règne parmi les esclaves des plantations. Poussé par son épouse, Hortense, le comte décide d'aller s'y établir, avec deux associés, pour y apporter l'esprit des lumières.
Hélas, une fois arrivés sur l'île, par une tragique nuit de tempêtes, le comte et son épouse sont sauvagement assassinés et l'argent qui devait servir à l'achat de la plantation disparaît aussi que les trois enfants.
Le jeune officier qui commande la garnison locale fait pendre trois malheureux chez qui une robe ensanglantée de la comtesse a été retrouvée. Et l'affaire est classée. Les deux associés quittent peu après l'île et leur trace disparaît elle-aussi.
Le temps passe mais le souvenir de cette nuit de cauchemard ne s'efface pas dans l'esprit de Richard de Landalle, devenu père de l'ordre des Jésuites. Jusqu'au jour où un rapport lui parvient sur la colonie du Fort de Vass et de certains de ses habitants. Ce qui pouvait paraître une coïncidence, sous le poids de nouvelles informations collectées avec patience, devient une certitude: les filles sont vivantes et le destin a conduit les trois protagonistes de l'affaires vers cet avant-poste de la frontière.
Après l'affaire de Monongahela, la frontière s'embrasse et de nombreux raids sont montés pour repousser les Britanniques de la vallée de l'Ohio. Le nom du fort de Vass est prononcé lors d'un conseil et le père Richard n'a aucun mal a prendre le commandement de l'expédition: l'heure de régler un vieux compte a sonné !

De retour au fort de Vass...
A l'origine, simple comptoir commercial tenu par Vass, un négociant venu asseoir sa fortune loin du contrôle de la Couronne, le site s'est progressivement développé, jusqu'à attirer une petite garnison et un village de colons.
L'édifice est aujourd'hui imposant, avec ses tours de guet reliées par une solide palissade à hauteur d'homme, gardées par les provinciaux de Virginie. Sous les ordres du Colonel, un rude soldat ayant fait carrière à l'étranger avant d'acquérir une plantation en Virginie pour y prendre le commandement de la milice.


L'entrée du fort est protégée par une pièce de 3 livres, payée sur les fonds propres du Colonel. Cette pièce a une sinistre renommée dans toutes la région car le Colonel l'utilise à l'occasion pour exécuter les sentences qu'il prononce. Mais au fort de Vass, nulle voix de s'élève tant la méthode est efficace pour assurer la tranquillité de la région.



Sur la route de l'Est, les renforts réclamés par le Colonel approchent...
Les appuis du Colonel sont nombreux et par moins de compagnies de réguliers sont envoyées, ainsi qu'un approvisionnement conséquent. Deux groupes de miliciens coloniaux se joignent à l'expédition pour rejoindre leurs familles réfugiées au fort de Vass.


Suite à un accrochage, les deux filles du colonel, Alice et Cora, ont été recueillies et protégées par Oeil de Faucon, Chingachgook et son fils Uncas. Avec un groupe de guerriers iroquois, tous arrivent à temps pour rejoindre le convoi qui n'est plus qu'à quelques miles du village édifié à proximité du Fort de Vass.


Le village lui-même: les provinciaux du Colonel montent la garde derrière une solide barricade faisant face aux collines inhabitées du nord, là où le risque d'attaque est le plus élevé, pendant que Guillaume potasse les règles !



Une seconde barricade et une seconde unité de provinciaux sur le qui-vive.


Les maisons du villages sont soit abandonnées, soit garnies de civils en armes, prêts à défendre leur vie du mieux possible...

Deux unités de milice coloniales prêtent main-forte: l'un d'elle, dans la maison la plus exposée au Nord, la seconde derrière une barricade de chariots à l'entrée de l'église.


Vue aérienne de la situation au nord du village.


Conseil de guerre autour de la table: 4m80 sur 1m20 !



Une prise de vue aérienne de la table: les Britanniquent sont déployés en premiers, les Franco-Indiens se placent ensuite hors de vue de leurs adversaires.


Après une marche difficile à travers les collines, la troupe du père Richard s'avance à l'orée de la forêt.
Une troupe nombreuse progresse vers la rivière, face au fort. Les ordres sont clairs: n'attaquer que lorsque le village sera investi !



Face au village, les unités gagnent à leur tour leur position.


Le père Richard est au coeur de l'action pour mener l'assaut. Saluons au passage notre expert en décors forestiers qui a bien voulu nous conseiller sur le positionnement de la sauvage végétations des collines et nous indiquer les meilleurs coins à champignons !



Enfin, plus à l'Est, d'autres unités se placent en embuscade pour engager le convoi.


Un groupe de miliciens canadiens donne le signal: ils arrivent, à vos postes !



Vue aérienne des positions Franco-Indiennes le long de la route de l'Est.


D'est en ouest, la table s'embrase: les Franco-indiens sortent du bois et sont reçus par une salve de réguliers...


... couvrant ce qu'il faut bien appeler de fuite des filles du Colonel et des chariots de ravitaillement.



Les troupes françaises quittent la forêt et se répandent dans la vallée pour couper la route du convoi.


Progression initiale des troupes Franco-Indiennes vers la route et le convoi.


La fusillade de sporadique devient de plus en plus nourrie, alertant les habitants de la vallée. Dont Rosie Vass et le ranger Bob, venu lui montrer de bons coins à champignons. Fort étrangement, notre conseiller Marcot n'était pas invité à la promenade !



Du fait d'une brusque interruption du premier tour, les indiens jaillissent des bois à leur tour et se lancent à l'assaut du village...


Pour être accueilli par un tir nourri des Virginiens.



L'entraînement du Colonel a du bon: les indiens sont repoussés et regagnent les bois en hurlant de surprise et de rage !



L'affrontement sur la route de l'Est tourne à la bataille rangée...


... les irréguliers de chaque camp tentant de déborder la ligne adverse.
Au loin, une unité de coureurs des bois se précipite pour couper la route du convoi...



Les réguliers britanniques tiennent bon et tentent de repousser les Français loin de la route.
 


Une unité de milice coloniale est foudroyée sur la route par une salve des compagnies franches...



Mais ces dernières reçoivent à leur tour leur lot de plomb par les réguliers britannique et les indiens.


Les milices canadiens verrouillent solidement le flanc gauche de leur armée et déclenchent un feu d'enfer !



Sur le point d'être débordés, c'est le sauve-qui peut pour les chariots et les filles du Colonel !



Quand un Michel rencontre un autre Michel, qu'est-ce qu'ils se racontent ?



Les premières habitations sont sur le point d'être emportées...


En formation serrée, les réguliers français abordent eux aussi le village.


Mais les Virginiens tiennent bon: les unités se fusillent à bout portant.



Les rangs des défenseurs d'éclaircissent mais leur ligne tient bon.


Du côté du fort, les attaquants atteignent l'orée des bois et attendent le signal de l'attaque.


Et c'est alors que, les premiers renforts britanniques rentrant sur la table pour dégager la route, se produit l'impensable au coeur de la bataille !


(à suivre...)

Merci pour ces premières photos Jean-Mimi

Michel 91 a écrit:Merci pour ces premières photos Jean-Mimi

Faut pas que je traîne avec le week-end prochain qui arrive...


Merci à tous les participants pour ces 6 heures de jeu et bon retour à tous !

C’était donc notre (grosse) partie annuelle de M&T, merci pour ton scénario JM

Michel 91 a écrit:C’était donc notre (grosse) partie annuelle de M&T, merci pour ton scénario JM

Je n'ai pas pu résister ! J'ai trié et rangé les figurines. Pourtant, j'avais un an pour le faire...

L'impensable, oui, ami lecteur !


Autant victime d'un flottement dans le chaîne de commandement française que de sa hâte à retrouver ses nièces, le père Richard ne remarque pas la déroute de l'unité d'indiens qui le couvrait...


Il se retrouve seul en plein champ de bataille !



Dans le furie générale et les nappes de fumées qui couvrent la vallée, qui l'a remarqué ?


Un homme dans le clocher de l'église aperçoit sa silhouette solitaire. Cet homme n'est autre que le révérend Shane qui vient de finir de recharger son fusil. Depuis le début de la bataille, il fait le coup de feu et ses tirs ajustés en ont couché plus d'un sur la prairie. Aussitôt aperçu sa cible, il épaule et la met en joue: dans sa ligne de mire, les traits lui paraissent vaguement familier, souvenir d'une époque lointaine qu'il a préféré oublier après être venu fonder son église au coeur des terres incultes de la frontière.


Clac. Pfffiiitt.... Boum !


Et c'est comme un tonnerre qui résonne à nouveau dans le clocher envahi de fumée. Au loin, la silhouette s'écroule comme foudroyée. Mais déjà le révérend entreprend de recharger son arme: les cibles de manquent pas.

NDR: Bon, là, Guillaume, c'est pas cool. Enfin, moi, je dis ça, mais moi je défend le fort, alors...
Il faut que tu jettes un dés 20 et que tu me donnes le résultat pour savoir ce qui est arrivé au pauvre père Richard.

Dans la confusion générale, nul ne remarque que les Franco-Indiens viennent de perdre leur commandant en chef.

La bataille fait rage le long de la route de l'Est. Les réguliers britanniques viennent à bout des compagnies Franches...


... pendant que les indiens se placent sur le flanc des hommes des bois dissimulés de hautes herbes.


Mais ces derniers réagissent promptement et par une effroyable volée de tomahawks, couteaux de jets et autres projectiles moins conventionnels abattent les indiens !



Plus loin, les filles du Colonel, leur escorte et les chariots continuent leur progression vers le village.


La vue du clocher et d'une bouteille d'eau géante leur redonne courage !


C'est à ce moment qu'une unité de réguliers français choisit fort peu galamment d'ouvrir le feu sur Alice ! Heureusement que le père Richard n'est plus là pour voir ça...


Horreur: une perte ! N'écoutant que son courage, Chingachgook se sacrifie et s'écroule non sans avoir lancé un ultime encouragement à son fils, le dernier des Mohicans sur la table !


A l'Ouest du village, des groupes d'indiens commencent à s'infiltrer entre les habitations, mais son repoussés par des tirs heureux de vigilents.


L'assaut des indiens sur la gauche du village semble avoir échoué...


... lorsqu'un petit groupe de guerriers Hurons arrive enfin au contact et massacre une partie des défenseurs...


... repoussant les survivants vers l'intérieur du village.


Les miliciens coloniaux s'apprêtent à vendre chèrement leur peau devant l'église lorsqu'une fusillade générale s'élève...
et fauche les indiens imprudemment avancés: brave civils !


Cette partie du village résiste et n'est pas encore investie.


D'autant plus que les défenseurs sur la droite du village s'accroche et ne cèdent pas un pouce de terrain.


Une grosse unité de réguliers français s'apprête à fondre sur eux lorsque, dans un effroyable rugissement, un projectile miraculeux/malchanceux (rayez la mention inutile), venu du fort, traverse et éparpille leurs rangs, façon puzzle.


Avant...


Après...


Le village ne tombera pas à ce tour.


Mais les Français n'ont pas fait donner tous leurs moyens: les unités face au fort passent enfin à l'assaut !

En avant Roussillon, que je trépasse si je faiblis face aux Anglois!

La lisière de la forêt, face au fort, semble tout à coup s'embrase: les défenseurs sont encadrés par une furieuse volée de plomb qui les force à baisser la tête. Le temps pour une masse de réguliers français de s'avancer sur le petit pont qui traverse la ruisseau et de prendre pieds sur l'autre rive.


Mais les défenseurs relèvent rapidement la tête et déclenchent un feu d'enfer sur les assaillants: les premiers rangs sont impitoyablement fauchés.



Devant la vague de français déferlant devant le fort, les servants de la pièce de 3 livres pivotent leur pièce et font feu: toucé ! Et un nouveau carnage...



Mais l'officier qui mène l'assaut n'est pas venu pour laisser ses hommes se faire massacrer: il reforme énergiquement ses lignes...



... et attaque la redoute qui est emportée de haute lutte !



Malheureusement, les survivants de l'assaut sont fusillés à bout portant depuis la tour qui garde l'entrée du fort et ne peuvent l'investir.


Au nord du village, les derniers Virginiens s'accrochent à la dernière barricade: ils ne passeront pas !


Face à la route de l'Est, un unité de réguliers britanniques, arrivée en renfort, prend position dans la porcherie...


NDR: C'est étrange, ce besoin, chez les joueurs, de placer leurs troupes dans les terrains les plus incongrus...

... juste à temps pour bloquer une unité de réguliers français qui commence à investir le village, après avoir pris d'assaut une première maison et massacré les quelques malheureux civils qui la défendaient.


Plus loin, sur la route, les derniers coureurs des bois sont fusillés par les réguliers britanniques qui reforment leurs lignes et commencent à progresser vers le village pour prendre les Franco-Indiens en tenaille.


L'affaire prend une mauvaise tournure pour les assaillants lorsqu'elle vire à la catastrophe. Au coeur du champs de bataille, un cri de rage et d'angoisse éclate:  "Le père Richard est mort ! Le père Richard est mort !".


NDR: Perso, je n'en sais rien puisque Guillaume n'a pas tiré le dé, mais avec une balle de 17,5 mm dans le buffet, il ne doit pas se sentir au mieux.

Le cris se répand dans toute la vallée comme une traînée de poudre. Après un instant d"hésitation, les indiens et les irréguliers français commencent à reculer vers la forêt, recule qui se transforme en débandade, dès la première volée tirée par les défenseurs.
Voyant cela, les officiers français donne l'ordre à leurs troupes de se replier elles-aussi.


Comme les silhouettes des derniers attaquants disparaissent, hors de portée, dans les bois, le Colonel pense avec amertume à la perte de son canon qui lui aurait permis de tirer une dernière salve sur les fuyards.
Au centre du village, le révérend Shane et ses fidèles entament un Te Deum qui restera dans tous les souvenir et marquera l'histoire des 13 colonies.
Si la messe n'est pas encore dite, c'est tout comme.


FIN

arf ! partie haletante encore...

Eh oui, t'as raté ça Franck

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MOUSQUETS & TOMAHAWKS




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On passe à LA table du dimanche de part sa dimension:

Wouah Michel ! Tes photos, elles sont trop belles !


Après l'art, un peu de technique. A titre indicatif, pour les Britanniques:

Le Fort (351 points)
Le Colonel, officier colonial, 3 talents (40 points)
16 torries, entraînés (112 points)
4 artilleurs provinciaux (44 points)
12 miliciens coloniaux (36 points)
La mère Vass, notable, 2 talents (15 points)
10 civils (20 points)
12 indiens, réticents, amis indiens (84 points)
NDR: Scène plus que secondaire, un peu de troupe pour tenir les murs, voir, si l'adversaire n'est pas assez incisif, lancer quelques unités vers le village.

Le Village (436 points)
Le Révérend, notable, fusil, 3 talents (22 points)
24 civils (48 points)
Le bras droit du colonel, officier colonial, 1 talent (30 points)
8 infanterie régulière britannique (64 points)
20 torries, entraînés (140 points)
12 rangers, fusil (132 points)
NDR: Scène principale, se barricader et tenir jusqu'à l'arrivée de l'infanterie régulière... si elle passe. Les rangers doivent permettre de tenir la route des deux côtés du village.

Le Convoi (413 points)
Chef du convoi, officier britannique, 2 talents (35 points)
24 infanterie régulière britannique (192 points)
12 torries (60 points)
12 civils [Alice et Cora, conducteurs de chariot] (24 points)
Oeil-de-Faucon, chef indien, fusil, 2 talents (32 points)
10 indiens (70 points)
NDR: Bataille rangée en perspective, l'infanterie régulière doit protéger le convoi, les indiens dégager la route pour les personnages et les chariots. Et les torries ?

Demain, les Franco-indiens...

Bravo à vous...

Merci Fred...ce sont les photos d'Etienne Jean-Mimi

Petite question de quelles marque sont les figurines ?

Michel 91 a écrit:Merci Fred...ce sont les photos d'Etienne Jean-Mimi

Je me disais bien... Bravo Etienne !

Super week-end
Et super scénario.
Encore merci.
Amicalement.
@ + Michel.

Merci aux Aigles Rouennais pour leur amicale visite, c'est toujours un plaisir de vous recevoir, on se reverra peut-être á Seclin en janvier et très probablement en mars chez vous

Jean-Michel II a écrit:

Michel 91 a écrit:Merci Fred...ce sont les photos d'Etienne Jean-Mimi

Je me disais bien... Bravo Etienne !

Il y aurait comme un sous-entendu vexatoire ou bien?
Mes photos sont pourries, mais mes figs M&T sont peintes maisons, j'ai donc l'inverse de tes talents, c'est beau la complémentarité

Michel 91 a écrit:
...
Il y aurait comme un sous-entendu vexatoire ou bien?
Mes photos sont pourries, mais mes figs M&T sont peintes maisons, j'ai donc l'inverse de tes talents, c'est beau la complémentarité

Ah ! Michel...
Je fais ce que je peux pour éveiller l'Elémentaliste qui somnole en toi ! Tu ne peux décidément pas jouer l'un de ces pisse-glacé de Nécromants...


Je poursuis avec les Franco-Indiens:

Le siège (351 points)
Officier des milices canadiennes, 2 talents (35 points)
16 milices canadiennes, coureur des bois (160 points)
Chef indien, fusil de contrebande, 2 talents (32 points)
6 indiens, fusil de contrebande (54 points)
10 indiens (70 points)
NDR: Les indiens pour que les occupants du fort baissent la tête, le reste pour isoler le fort.

L'assaut (448 points)
Père Richard, officier milices canadiennes, 3 talents (40 points)
24 infanteries régulières françaises (192 points)
Officier régulier, 1 talent (30 points)
16 milices canadiennes (144 points)
6 indiens, amis indiens (42 points)
NDR: Une bonne poussée droit au centre derrière les réguliers, et le verrou des défenseurs doit sauter.

L'embuscade
Magua, chef indien, sanguinaire, 2 talents (30 points)
12 indiens, sanguinaires (84 points)
Officier régulier, 1 talent (30 points)
10 compagnies Franches de la Marine (80 points)
12 indiens, amis indiens (96 points)
8 milices canadiennes, coureur des bois (80 points)
NDR: Les indiens sanguinaires pour disperser le convoi, les amis indiens pour poursuivre les personnages et les chariots, les milices pour couper la route , et les compagnies Franches pour s'occuper des renforts.

thanos17 a écrit:Petite question de quelles marque sont les figurines ?

Provinciaux, Milices: Galloping Major;
Indiens: Galloping Major, Warlord Games;
Réguliers, artilleurs: Crusader Miniatures, Front Rank;
Civils: Warlord Games, Front Rank;
Chariots: Front Rank;
Le dernier des Mohicans: Warlord Games.