Du grand classique...

Cela faisait déjà plusieurs mois que la bande du Jarl Fabsson pillait et ravageait la côte, non loin de Witby. Les hommes venus du Nord avaient installé leur campement non loin de l'embouchure d'une petite rivière, au pied d'une tour en ruine, et s'apprêtaient à hiverner. Le Earl Cherrywood fut chargé par son roi de mettre fin à cette menace. Regroupant ses guerriers, le chef Anglo-danois décide de marcher sur le camp des Scandinaves. C'est au petit matin que le Earl franchit la rivière à la tête de ses hommes.

Partie en quatre points. Scénario Terre Natale.
Côté vikings : seigneur, 4 gardes bersekers, 4 gardes classiques, 16 guerriers répartie en un groupe de 10 et un groupe de 6.
Côté anglo-danois : seigneur, 4 Gardes avec haches danoises, 24 guerriers répartis en 3 groupes de 8.


Le déploiement : les Anglos-Danois franchissent la rivière sur la droite. Les Vikings, à gauche défendent leur camp.


Les Anglo-Danois n'ont pas froid aux yeux mais aux pieds, mouillés lors de la traversée de la rivière.


Un exemple de plateau, l'Anglo-Danois, tour 1, beaucoup de chevaux, pas de tête  


Contrairement à une légende tenace le décrivant comme indisciplinés, le Viking peut-être discipliné et attend fermement la charge ennemie.


ça va saigner...
Les premiers tours furent marquer par une intense activité au centre du champ de bataille. Les Bersekers fauchent une unité de guerriers anglo-danois comme des blés malgré une belle résistance de leur part. Les Gardes Anglo-danois entrent alors dans la danse. Malgré cela, l'aile gauche anglo-danoise se retrouve peu à peu enfoncée sous la pression viking laissant sur le champ de batailles une unité de guerriers et une de Gardes.


Le champ de bataille, vu depuis le bord Viking.


Sous les ordres de leur Jarl, les Vikings se regroupent avant l'assaut final face aux Anglo-Danois diminués.


Odiiiiiiiiiiiiiiiiin ! Ou pas... la charge des guerriers vikings est encaissée par le mur de boucliers anglo-danois dans un joyeuse mêlée. Les Hommes du Nord reculent mais lorsque la poussière des combats retombe et que le compte des points est fait, les Vikings sont vainqueurs.

Le regard pétillant, le Jarl Fabsson regardait les Anglo-Danois battre en retraite sous les appels lugubres d'un cor. L'attaque anglo-danoise était un échec. Un sourire carnassier se dessina sur le visage buriné du Jarl. A n'en pas douter, dès le printemps, ils recevrait des renforts venus de Scandinavie et pourrait poursuivre ses actions militaires. Il leva la tête, des lourds nuages le surplombant tombaient de légers flocons de neige. Il était grand temps de se mettre à l'abri des dures conditions de l'hiver. Les choses sérieuses reprendraient au printemps...