La "Mêlée du bout du monde" 2019: Le retour du Viking !

Salutations ami lecteur !


Comme annoncé dans le titre, les Vikings furent de retour, le 11 et 12 mai 2019 derniers, au sein de l’ancienne abbaye de Landévennec, pillées par leurs bons soins en l'an 913.... sur la presqu’île de Crozon.


A l'aimable invitation des grognards du bout du monde de Brest et Yggdrasyll de Lanvéoc: autant dire qu'ils n'étaient pas venu pour planter des fraises: c'est un peu plus loin à l'Ouest.


On se méfiait un peu: Saint Guénolé a la dent dure...



Alors, on n'était pas venus tous seuls...



Après une bonne nuit de sommeil, bien au chaud et au sec sous la tente...



Le campement s'éveillait et vaquait à ses activités matinales...



Le temps de réchauffer la soupe...
   


... un bon bol bien chaud pour saluer le soleil (le Viking adore le soleil, surtout sur ses dés de capacités) et: hop ! au boulot !



Je vous vois venir: c'est pas la Bretagne, ça !



Si fait... On voit l'Aulne !



Le temps de traverser les jardins du musée...



Les connaisseurs y trouvent à boire et à manger...



Peu de touristes encore à cette heure...



La composition de ma bande, du classique: 1 seigneur, 5 points de guerriers et 1 prêtre.
Pas de place gaspillée sur le navire pour les levées, et le Berserkers ont été jetés à la mer: ils faisaient de mauvais compagnons...
Du guerrier, mais remonté à bloc par le prêtre et à l'humeur bien massacrante.

Samedi 11 mai

10h00 : Début de la première partie - «Le choc des héros» (contrée marécageuse / colonne de marche /jusqu’au crépuscule / un parfum de nostalgie / domination).
Face à Cédric et ses Irlandais.
Pas de chance pour lui, le terrain se révèle être une lande dénudée avec deux misérables marais pour seuls terrains.

Je place mes... deux figurines: le Seigneur et le prêtre. Le reste étant recruté localement à Landerneau pour l'occasion. Merci Guillaume !



Les Irlandais dans leur pataugeoire...



Autant dire que cela ne s'est pas très bien passé...



Pas bien du tout même !



Le Soleil est apparu au premier tout et s'est très vite caché: les dés de capacités ne permettait pas... de faire grand chose avec mes guerriers. J'en étais réduit à utiliser mon prêtre pour faire des symboles de base afin de bouger mes guerriers.
De son côté, Cédric a remarquablement manœuvré et m'a empêché de sortir de mon quart de table de déploiement. Grosse concentration de Nordiques et gros abat de flèches et de javelots...
 

Et mes dés de combat ? J'ai perdu ma bande en essayant de franchir l'écran des Curaidh, sans en tuer un seul.


Cédric a très bien fait avec sa bande ce que j'avais fait lors de l'initiation au Dragons de Vaires 2018: ça marche bien, y'a pas à dire.
En tout cas: y'a pas photo sur le résultat. Mais la chance tourne et j'aborde la partie suivante avec confiance...
Et je bénéficie des précieux conseils de Cédric qui a bien étudié la faction ! Composition de bande, capacités à privilégier... Malheureusement, ce n'est pas tout à fait (en fait, pas du tout) ce que je souhaite faire avec !

Samedi 11 mai

13h00 : Début de la deuxième partie - «Ripailles et pillages» contre les Carolingiens de Valère. Autant dire que les Vikings jouent un peu à la maison.


Pour commencer: je me rappelle de la règle de Manœuvre et ma bande, jouant en premier, avance en un tour bien plus que durant la partie précédente !
Une petite faute de placement qui m'empêche de supprimer la fatigue de mon prêtre, mais une grosse pression sur mon adversaire puisque les 3 objectifs sont à moins de TC de mes troupes.



TC du Caerbanog, mais pas moins...



... faut pas exagérer non plus: la bête est féroce !



Aux Carolingiens de jouer !
Sa bande avance un peu, partout, surtout sur ma gauche: il engage avec une première unité de gardes montés l'une de mes unités de guerriers et manque de la détruire.



A mon tour, j'arrive à jouer un Ragnarök ! Merci le prêtre...


Du coup, c'est un tour de nettoyage de table: je perds pas mal de monde, mais au début de son second tour, il reste en tout à Valère 2 dés de capacités et il m'en reste 3, plus le Seigneur et le Prêtre.
Et accessoirement j'ai capturé un marqueur de victoire.



Bien parti ? Suffisant pour gagner la partie ?
Que nenni !
Alors que j'oublie encore une fois la règle de manœuvre, dépensant mes dès de capacités pour bouger mes troupes, Valère ignore complètement la capture d'objectif et, à l'avant dernier tour, charge mon seigneur avec ses gardes. Mon seigneur rate ses sauvegardes et meure ignominieusement.



Il me reste à peine le temps de faire des calculs savants pour réussir à faire sortir mon prêtre avec un objectif... et la partie se termine sur une nouvelle défaite. Aux points.


Partie bien plus intéressante, mais j'en viens à m'interroger sur l'art subtil d'utilisation du plateau Viking: il est parfaitement massacrant, mais pour les deux bandes. SAGA était un jeu d'attrition où il convenait d'infliger plus de pertes à l'adversaire. A priori, c'est toujours le cas. Là,  je n'ai qu'une option: attaquer. Et j'ai plus de pertes que mon adversaire.
Alors, pas la bonne bande pour les scénarios joués jusqu'à présent ?

Samedi 11 mai

15h30 : Début de la troisième et dernière partie de la journée - «Le choc des héros» (terrain accidenté/avant-garde/jusqu’au crépuscule/brumes/sacrifice) contre les Derniers Romains de René.
De la brume et des sacrifices ? Par Odin, je sens le vent tourner !!!


Justement, les voici !



Bon, ça grogne un peu dans les rangs: il est où le butin ? c'est quoi de chef ??



Bénéficiant d'une expérience de deux parties avec les Vikings V2, je me sens en confiance: du coup, c'est rapidement Ragnarök et je rentre dans le ventre mou de la bande de René.
Pour réduire ses unités de tireurs et son infanterie, et ses dés de capacités.
Cela aurait pu fonctionner... si René n'avait pas décidé à réussir une quantité phénoménale de sauvegardes au corps à corps.


Du coup, c'est la défaite à l'arrivée si je n'arrive pas à remporter un dernier assaut: ma dernière grosse unité de guerriers contre ses mercenaires flamands. Sans capacité avancée ou presque.
On y va: les attaques touchent avec un peu de réussite... et René rate tous ses jets de défense !



Et le calcul des points de victoire donne... EGALITE !
Hourra ! Les points commencent à rentrer: je ne serais pas fanny...

Après une journée bien massacrante (et bien massacré ! ), il est grand temps de prendre un peu de repos...


Nos valeureux combattants se dévouent donc pour soutenir les établissements locaux...



... sans oublier toutefois de travailler les fondamentaux avec le franchissement à plusieurs reprise le pont local.



Pour la petite histoire, pour ceux qui veulent tout savoir sur la grande histoire du principal édifice de Landerneau, je vous dévoile le guide touristique complet... à déchiffrer !



Non, Michel, ce n'est pas un simple banc !


Désolé pour ceux qui auraient voulu en savoir plus sur cette histoire de Coquine et de Vache: je serais muet !
L'Elorn a tout emporté, sauf le souvenir de cette excellent soirée !

Dimanche 12 mai

10h00 : Début de la quatrième partie - «Changement de plans» contre Pierre Alain et ses Normands.

Bon, ce n'est pas parce que les vieilles tactiques n'ont pas fonctionné hier, qu'il faut les abandonner aussi facilement.
Je place du terrain difficile pour casser ma zone de déploiement et mes unités forment un long mur de bouclier, avec leurs flancs protégés.



J'expédie l'un de mes guerriers pour négocier la reddition des gens d'en face: à priori, ils ne veulent pas !



Justement, les voici: du cavalier dans la plaine, sans objectif à défendre... J'ai comme un doute sur l'issue de la bataille !



Vous connaissez le principe: Ragnarök !
Je fonce sur les troupes à pieds normandes, archers et lanciers, pour en faire un odieux massacre. De mémoire, cela se passe à peu près bien. J'ai même la possibilité de surprendre avec une unité de guerriers, une grosse unité de gardes à cheval, avec deux fatigues. Avec le plateau viking, si les dés avaient été là, j'aurai pu, peut-être, les exploser façon puzzle. Mais il manquait un ou deux millimètres pour y arriver. Les montés étaient trop loins...

Du coup, la partie se terminer en...



Une bien belle photo pour faire plaisir à Michel91.


Une fois les troupes à pieds normandes bien massacrées, c'est repli dans le terrain difficile où la cavalerie ne va pas venir me chercher... pour à mon dernier tour franchir la moitié de terrain et marquer mes points de victoire.


Malheureusement, j'ai attaqué avec une bande à pieds une bande partiellement montée, et perdu dans l'affaire bien plus de troupes que mon adversaire. J'ai atteint mon objectif qui était de m'amuser, même s'il ne permettait pas de gagner. Du coup, DEFAITE !

Dimanche 12 mai

13h00 : Début de la cinquième partie - «Le combat des chefs» contre Guillaume et ses Skraelings

Autant le situation tactique lors des précédentes partie n'était pas terrible, autant pour l'ultime et dernière partie, elle fut pire !


Le Viking, sous une grêle de flèches mortelles, doit traverser une terre profanée pour engager une bande de démons emplumés qui aura eu le temps de se livrer à toutes sortes de rituels pas naturels !
Gros challenge en perspective...



Je ne peux pas dire qu'ils n'y sont pas arrivés... mais ils y sont restés !



Jusqu'au dernier ?
Non, le prêtre a décidé d'organiser une petite cérémonie avec les survivants pour invoquer l'aide de tout le panthéon nordique: parce que les locaux ne vont pas tarder à rapliquer et qu'ils ne sont pas commode !

Dimanche 12 mai

16h00 : Fin du tournoi
B'en voilà, c'est fini: il est temps de souffler et prendre un peu de repos sous la tente...



Je n'ai pas trouvé l'hydromel: je les soupçonne d'avoir tout bu plus tôt dans la journée !


Grosses affluence durant la journée justement et forte chaleur...



Et pas uniquement pour la conférence sur les Vikings en Bretagne qui était donnée... nous avons vu passer dans la salle du musée où nous jouions un grand nombre de visiteurs.



Un grand merci:

• au soleil pour avoir brillé tout le week-end... et aux nuages pour ne pas être venus !
  
• à l'équipe du musée pour l'organisation de cet événement dans un cadre exceptionnel;
  
• aux troupes LETAVIA et DREKAR pour avoir animé le campement dans les ruines de l’Ancienne Abbaye;
  
• au club Les grognards du bout du monde de Brest et Yggdrasyll de Lanvéoc pour avoir organisé le tournoi SAGA;
  
• aux généreux donateurs du tournoi qui ont permi à chaque participant de partie avec un lot: Michel, je reviens avec un blister de cavaliers Celtes !
  
  
• à tous les participants du tournoi pour les parties et leur bonne humeur;
  
• à Audrey et Guillaume pour leur chaleureux accueil (avec une mention spéciale pour le Kouign Amann local qui est bien meilleur qu'à Brest);
  
• à Diogène et Wazabi pour avoir miaulé devant la porte de Matthias en me laissant dormir !
  

Sans oublier la Coquine et la Vache, mais j'ai promis de ne rien révéler de cette histoire...


Un dernier mots (oui... oui plusieurs) pour un compte-rendu sur les Vikings V2.
Je voulais jouer un mur de boucliers viking. Je l'ai fait. Après cette expérience, je ne vais sans doute plus le faire et je ne recommande pas de le faire.

Cédric m'a prévenu après notre première partie:

• il faut des tireurs;
  
• il faut une unité de berserkers;
  
• il faut avoir un jeu offensif et se limiter principalement aux capacités Njord, Frigg et Valhalla.
  

Je suis assez d'accord. Je complète juste avec un:

• il faut que les scénarios se prêtent à un jeu offensif.
  

Durant ce tournoi, je n'ai pas vu de scénario de type attaque/défense. Ni de capture de terrain, ni de bande inépuisable. Ces deux critères me semblent indispensables pour dégager un avantage des capacités vikings.
Du coup, il y avait des points de massacre et d'occupation de zones. Le premier favorise les tireurs et le second les troupes montées. Je n'avais aucun des deux et de toute façon le plateau vikings ne permet pas de gérer convenablement ce type d'adversaire.
J'entends déjà raller Michel91... Et Odin alors ?  
Avec Odin, tu gères une seule unité de tireurs, avec au choix de l'épuisement ou une augmentation de ton armure au tir. Avec deux dés d'activation de guerriers ! Acceptable en défense, rédhibitoire en attaque. Et comme il n'y avait pas de défense d'objectif...


L'Irlandais continue à me faire très forte impression.
Le Normand reste une valeur sûre avec sa capacité de frappe et d'esquive.
La surprise est venue du Carolingien: me faire rouler dessus pas une bande ne générant que 2 dés de capacités (je vous donne la clé: Valère disposait en plus de 3 dés placés sur son Proelium).

Très beau compte rendu. Bon, faut quand même préciser que la première nuit des reconstituteurs c'était sous une pluie genre fin du monde .
Effectivement, nous avons passé une excellente soirée si bien au bar qu'à la crêperie en passant maint et maint fois sur un pont (d'ailleurs où est notre photo ).
Faut garder cette histoire de coquine et de vache secrète. Matthias ne s'en remettrait pas.

Excellent CR!

Excellent CR,
avec cependant une réserve: je constat avec tristesse que tu es passé aux pions fatigue lambdas, où sont les cochons ???

Petit Benhur a écrit:Très beau compte rendu. Bon, faut quand même préciser que la première nuit des reconstituteurs c'était sous une pluie genre fin du monde .
Effectivement, nous avons passé une excellente soirée si bien au bar qu'à la crêperie en passant maint et maint fois sur un pont (d'ailleurs où est notre photo ).
Faut garder cette histoire de coquine et de vache secrète. Matthias ne s'en remettrait pas.

Au temps pour moi: un accident de publication sans doute...

di-stephano a écrit:Excellent CR,
avec cependant une réserve: je constat avec tristesse que tu es passé aux pions fatigue lambdas, où sont les cochons ???

Pas de cochon en pays Henaff !
Voir le CR de la "Mêlée des Montagne"...


J'ai une photo pour toi: il y a une réserve quasi-inépuissable de premiers prix au musée de l'Abbaye même !
La preuve...

Ahahah la grande époque du saint poireau !

di-stephano a écrit:Ahahah la grande époque du saint poireau !

Pour les p'tits jeunes...
https://studio-tomahawk.forumgratuit.org/t814-tournoi-saga-nancy-4-et-5-mai-la-quete-de-saint-ane-ii-ramenez-moi-jehansen-mort-ou-vif-on-s-inscrit-ici-photos-en-ligne?highlight=nancy

Je l'ai fait pour la "Mêlée des Montagnes", je peux le faire aussi pour la "Mêlée du bout du Monde"...


L'attribution des Cochons d'or aux scénarios !


Attention ! Les notes sont attribuées par rapport à la bande que j'ai alignée et aux options tactiques à ma disposition, pas à l'intérêt des scénarios eux-même.

• La première partie «Le choc des héros» (contrée marécageuse/colonne de marche/jusqu’au crépuscule/un parfum de nostalgie/domination).  
  Une victoire aux points de massacre ? Un nombre de terrains aléatoire potentiellement limité à 2, dont 2 marécages ?
  Je suis tombé contre une armée de tireurs, encore heureux que cela n'ait pas été des tireurs montés...
  
  
• La deuxième partie «Ripailles et pillages»    
  Ce scénario propose autre chose qu'un massacre pur et simple de la bande adverse. D'un point de vue ludique, j'ai apprécié de courir après la capture et la sortie d'un objectif. Mais pourquoi gagner la partie en termes de points de survie ? Franchement, l'important c'est bien de se barrer avec l'oseille, non ?
  
  
• La troisième partie «Le choc des héros» (terrain accidenté/avant-garde/jusqu’au crépuscule/brumes/sacrifice)    
  Un nombre limité de terrains, mais des limitations en termes de portée de tir et de charge durant les premiers tours. Voilà qui rééquilibre un peu en faveur du pauvre fantassin.
  Qui dispose des 3 premiers tours pour engranger les points de victoire. Reste que, malheureusement, il va devoir foncer au contact en traversant la table de jeu... face à une bande qui va l'attendre de pied ferme. Pour un résultat douteux...
  
  
• La quatrième partie «Changement de plans»  
  Une relecture orientée des conditions de victoire pourrait donner:
  1) massacrer un maximum de monde durant les 3 premiers tours - je m'avance à distance de tir et je charge avec mes cavaliers les unités isolées.
  2) sauvegarder ses unités durant les 2 tours suivants - je replie mes tireurs et mes cavaliers en contre-attaquant si l'opportunité se présente.
  3) gagner des points de conquête au dernier tour - je sors ma calculatrice et je fais traverser mes unités montées pour finir avec un total plus élevé que celui de mon adversaire.
  
  
• La cinquième partie «Le combat des chefs» 
  Des conditions de victoire où les figurines éliminées au tir rapportent autant qu'au corps-à-corps ? Autant jouer des tireurs qui se placent à portée de tir et harcèlent l'adversaire tout en reculant jusqu'à leur bord de table. L'adversaire va s'épuiser à les poursuivre, sauf s'il est monté. Dans ce cas, il y a un vrai duel. Le simple fantassin va lui servir de pigeon d'argile...
  
  

De fait, je dois reconnaitre que la composition de ma bande ne permettait pas de faire grand chose durant ce tournoi.
La situation aurait été plus confortable avec une unité de levée-arc, voir plusieurs, et la possibilité de combiner leur tir avec la capacité Odin pour enquiquiner l'adversaire. Mais cela aurait relégué les guerriers vikings en troupes annexes: un comble !
Un minimum de terrains et de tireurs à pieds pour les tenir, de la cavalerie pour profiter des erreurs de l'adversaires: la combinaison de troupes idéale à mon avis pour ce week-end.
Par contre, je ne trouve pas que ce soit là des troupes "typiques" pour les Âges sombres...


Et pour conclure: SAGA V1 permettait de jouer n'importe quoi et, si l'on ne jouait pas n'importe comment, il y avait quasiment toujours moyen de s'en sortir. Les parties étaient de vrais duels, avec des chances équilibrées de chaque côté. Avec SAGA V2, il faut faire plus attention. A commencer par le placement du terrain qui peut ruiner les chances de victoire d'une bande avant même le début d'une partie (voir ma partie contre les ordres religieux à Rueil-Malmaison l'automne dernier). Il n'est plus question de jouer une bande de maraudeurs affamés, mais un solide commando adapté à chaque scénario et capable d'exploiter les possibilités tactiques qui ne manqueront pas de se présenter... en attendant le bon moment !

Eh ouais mon cher Jean-Mimi, fini l'Age des "Boys Scouts", les combattants se "professionalisent"

En fait j'ai surtout l'impression que les scénarios avec des points de massacre / survie favorise les armées de tir. Ce genre de scénario n'a que peut d'intérêt si ça se limite à un duel d'archer et à camper sur place. Sauf à pouvoir placer suffisamment de décors haut en milieu de table pour bien gêner les lignes de vue.

Avec un scénario ou il faut tenir les objectifs au centre ton adversaire peut bien t'arroser tant qu'il veut, s'il ne vient pas prendre les objectifs il sera marron en fin de partie.

Marduck a écrit:En fait j'ai surtout l'impression que les scénarios avec des points de massacre / survie favorise les armées de tir. Ce genre de scénario n'a que peut d'intérêt si ça se limite à un duel d'archer et à camper sur place. Sauf à pouvoir placer suffisamment de décors haut en milieu de table pour bien gêner les lignes de vue.

Avec un scénario ou il faut tenir les objectifs au centre ton adversaire peut bien t'arroser tant qu'il veut, s'il ne vient pas prendre les objectifs il sera marron en fin de partie.

C'est pas faux.


Et encore, avec un duel d'archers, au moins tout le monde joue !
Cela vire parfois au duel à sens unique: tu avances tes troupes sous une pluie de flèches en subissant plus de pertes que ton adversaire...

Pas tout à fait pour les objectifs au centre: voir la scénario Conquête pour demain. Ce sont bien tes tireurs qui te font gagner la partie parce que du point de vue attrition, le tireur à couvert est toujours plus fort qu'un non-tireur.

Je t'invite à demander à Cypher ses statistiques sur les dernières armées victorieuses en termes de mobilité et capacité de tir ! Le connaissant, je suis sûr qu'il en a !!!

Merci pour ces rapports de combat.