La Croisade des Albigeois

korre Sam 24 Nov - 0:28

Bataille jouée aux Grognards du Bout du monde le 23 novembre 2018.
Si vous souhaitez voir d'autres rapports de bataille vous pouvez vous rendre ici :
http://grognards-bm.megabb.com/f20-comptes-rendus-de-parties

7 points de Cathares : 1 seigneur, 8 chevaliers, 8 cavaliers, 12 vougiers, 12 archers, 12 parfaits
7 points de Croisés de Montfort : 1 seigneur, 1 prêtre, 8 chevaliers, 8 cavaliers, 12 vougiers, 12 arbalétriers

Rien ne vaut un bon bûcher de sorcières pour se réveiller le matin.

Les arbalétriers de Montfort préparent une embuscade dans le marais.

Menés par les toulousains, les soldats du Languedoc se déploient.

Les croisés ont franchi la Garonne. Les prêtres enquêtent dans la région bien résolus à débusquer les parfaits hérétiques.

Les chevaliers du Languedoc tombent à bras raccourcis sur les cavaliers du nord de la France.
Le combat est brutal, les croisés se battent comme des lions et saignent mortellement la fine fleur albigeoise.

Une nouvelle vague tombe sur la cavalerie de Montfort. Encore une fois, l'ennemi païen est repoussé.

Les plus fidèles de la religion cathare, se présente devant la cavalerie lourde françoise.

L’arbalète est le moyen connu le plus efficace pour désarçonner un chevalier.

Tout était pourtant calculé au pouce près. Le terrain était sec.
Les chevaux bien nourris. Et pourtant la charge des troupes d'élite françoises fut repoussé par les hérétiques.

Les archers décochent leurs flèches. Un arbalétrier tombe sous la pluie de flèches.

Les cathares les plus frénétiques chargent la noblesse en armure. Le combat est un véritable massacre.
La chevalerie est exterminé, les hérétiques de leur côté, ont perdu les trois quarts de leur hommes.

De l'autre côté du champ de bataille, les corps à corps des cavaliers continuent.
Les croisés sont mis en déroute. Le chef toulousain abat son glaive sur le prêtre catholique.

Les arbalétriers françois brisent les rangs de la cavalerie adverse à coup de carreaux.

Les sergents d'armes et autres vougiers françois démontent les restes de la cavalerie albigeoise.

Les pertes se cumulent chez les arbalétriers qui souffrent face aux tirs des archers païens.

Les sergents et vougiers s'en prennent maintenant au toulousain.
Ce dernier, à grand coup d'épée, éliminent les quelques soldats et fait fuir les soudards.

Pour couvrir les arbalétriers, un cavalier françois se sacrifient devant les archers du Languedoc.

Un arbalétrier de plus mis hors combat, la situation est critique pour l'armée des croisés du nord.

Contournant la position ennemie, le catholique du nord engage avec ferveur le catholique du sud.
Le combat est rapide et violent, les deux nobles s'entretuent dans un corps à corps sauvage.

Les archers engagent les vougiers. Le lion reste redoutable quand il est acculé.
Les pertes sont effroyables, les archers en supériorité numérique éliminent les derniers croisés.

Les arbalétriers tirent un dernier trait, un vougier toulousain voit son armure percé par le carreau.
Les archers ripostent, en vain. Excepté le marais, les fiers soldats du Languedoc maîtrisent le terrain.
C'est une victoire ! La pauvre paysanne est vengée.