Les skraelings dans la ville (Ballainvilliers 2014)

Un petit compte-rendu de mes parties pour les intéressés :

Ma composition :

1 seigneur, 1 conseillier religieux et 5 points de guerriers.

Composition que je trouve satisfaisante car elle permet de s'adapter au scénario joué, de jouer la partie avec un maximum de dés Saga et de pouvoir utiliser les capacités qui m'intéresse quand j'en ai besoin très souvent.

Partie 1 : Hurry(ne) ! contre les bretons de Guillaume

Guillaume jouait avec un seigneur, 1 conseiller religieux, une unité de 12 gardes, 1 unité de 8 guerriers montés et 8 flamands.
Guillaume me harcèle dans la plus grande tradition bretonne, j'avance, je tire, je recule. Il profite de la fragilité des indiens pour réduire les effectifs en enchaînant les tirs avec ses dés Saga, plutôt qu'en faisant un tir très puissant mais unique. Pour lui répondre, je lui envoie une de mes unités fragilisées sur ses gardes pour les affaiblir. Malheureusement le temps nécessaire pour réduire la menace de ses gardes lui permit de me réduire à un dernier carré protégeant le tonneau. Je fait rentrer des troupes près de son tonneau pour l'obliger à le défendre et ainsi réduire ses forces attaquant le mien, et me permettre de jouer la victoire si les événements m'était favorable. Loger dans mon cercle de pierre comme je l'étais, Guillaume compris que pisser dans le tonneau serait difficile mais qu'il pouvait gagner en mettant ses troupes à M de mon tonneau lors de son dernier tour. Il me restait à repousser ses flamands avec mon seigneur et lui tuer un garde avec mon conseiller religieux et mon dernier guerrier mais mon unique chance d'obtenir le match nul s'envola avec la mort de mon seigneur.

Guillaume a maîtrisé la partie de A à Z et mérite amplement la victoire. Même avec le recul, je ne vois pas trop comment j'aurais pu gagner, jouer sur les décors peut-être. Par contre le choix de faire entrer mes renforts vers son tonneau n'était peut-être pas le plus optimal niveau comptable, les faire venir prêt du mien pour jouer le nul avait sûrement plus de chance de fournir des résultats.


A suivre...

je n'ai qu'une photo de tes indiens et c'est sur cette partie :

vivement la suite du compte rendu

Merci pour la photo.

Partie 2 : Le dernier carré face aux gallois de Fabrice

La partie commence par un pari, n'ayant pas envie d'estimer le nombre de tour nécessaire pour détruire les gallois, je choisis la défense en pariant 10, c'est certainement ma plus grande erreur du tournoi.
Fabrice a misé 8, il me restait à résister 8 tours aux attaques galloises.
La composition galloise était de 3 unités de gardes (6/6/4), 2 unités de 8 guerriers et son seigneur. Pour ma part je décide de faire que des petites unités de 4 guerriers, permettant de démultiplier les cibles pour mon adversaire et sachant qu'avec ma capacité vinland et les capacités galloises de déplacement, je jouirai d'une très grande mobilité.
Fabrice décidant de faire rentrer tous ses gardes du même côté, je décida de les fuir au maximum en envoyant mes troupes en direction des deux coins opposés.
Fabrice réduit petit à petit mes troupes. Il a un choix important à faire, attaquer une unité de guerrier ou mon conseiller religieux. Il hésita mais pris la bonne décision, tuer mon prêtre. Il m'amputa de précieux dés Saga par cette manoeuvre.
Je continuais à fuir et choisis de sacrifier mon seigneur pour gagner du temps. Je séparais mes deux groupes en 2 autres groupes chacun pour gagner encore plus de temps. J'ai même sorti une petite fourberie pour le ralentir, utiliser un guerrier solitaire pour haranguer son unité et l'éloigner du reste des survivants.
Au dernier tour, il me restais 6 guerriers en 2 unités, Fabrice avait deux unités très fatigués à proximité et une unité plus éloigné mais sans fatigue. Il pu déclencher une terre, un roi grâce aux deux dragons obtenus, résultat je n'eu pas le loisir d'exploiter sa fatigue et il détruisit in extremis mes derniers guerriers pour emporter la victoire.

Partie très intéressante et très tendue, la victoire s'est jouée à pas grand chose mais le destin ne fut pas de mon côté.